HEPL

Cours de science politique de 1ère année.

Le cours vise à :

• fournir aux étudiants des informations et des outils de compréhension portant sur des questions politiques contemporaines ;
• rendre les étudiants capables de formuler, décrire et analyser des enjeux politiques contemporains.

Chaque année, un thème différent est abordé, tenant compte de l’actualité.

En 2010-2011 : "Politique et religion".

FORET, Fr. (ed.), Politique et religion en France et en Belgique, Bruxelles, Editions de l'Université de Bruxelles, 2009.

Une connaissance de base des grands courants de la philosophie contemporaine en matière d'éthique

- acquérir un ensemble de repères éthiques cohérents et propres aux métiers du social

- évaluer les potentialités et les problèmes liés à ces repères éthiques;

- étudier la manière dont on peut appliquer ces repères éthiques à des situations professionnelles spécifiques

- distinction entre droit, morale, éthique et déontologie

- éthique et soins aux personnes âgées

- éthique et soins aux personnes vivant avec un handicap

éthique et soins à l'hôpital

en construction

Bachelier

Compétence 1 : Développer et pratiquer la recherche comme outil de compréhension critique et de diagnostic social et/ou comme appui au développement de services, projets, programmes, dispositifs ou politiques.

Compétence 2 : Adapter ou concevoir, conduire, dans une dynamique participative, des projets, programmes, dispositifs ou politiques d'action sociale.

Compétence 7 : Innover en matière de politiques et de pratiques sociales. 

I. Présentation des objectifs du cours et de la méthodologie de l'apprentissage par problème

guide méthodologique des différentes étapes (aller, travail de recherche individuel et collectif, séance experte, retour), choix des thèmes, recherche documentaire, élaboration d'une situation-problème, formation des groupes

II. La société du risque et la société en réseau, deux facettes de notre société contemporaine

Ulrich Beck (1986) définit notre société contemporaine comme une « société du risque ». Il soutient l’hypothèse que durant la société industrielle, la logique de production des richesses a dominé la logique de production des risques. Dans la société du risque, le rapport s'inverse. La logique de production des risques domine la logique de production des richesses. L’individualisation des inégalités sociales et la « détraditionnalisation » des formes de vie de la société industrielle sont deux conséquences de ce changement de logique. Pour Robert Castel (2009: 30-38) la « société des individus » est aussi une « société du risque ». Il distingue trois configurations principales: risque social, « population à risque » et les « nouveaux risques ».

Pour Manuel Castells (1996, 1998), une révolution des technologies de l'information est le moteur d'un processus de transformation, de la finance, de l'économie, du travail, de l'entreprise, de la politique, de la culture, des identités, des conceptions du temps et de l'espace, qui interroge profondément la question sociale et nous oblige à inventer des nouvelles réponses institutionnelles et organisationnelles aux problèmes sociaux.

III. La transformation de la question sociale, de l'Etat social et du travail social

La seconde partie du cours a pour objectif de présenter les hypothèses fortes concernant la transformation du social et de les interroger. Cette étape sera à la base de l'élaboration des questions qui guideront les étudiants dans leur recherche de terrain durant la troisième phase du cours.

Le changement social des cinquante dernières années a radicalement transformé la question sociale (Rosanvallon, 1995) et nous oblige de repenser le social. Le travail reste au coeur de la question sociale même si celle-ci s’est complexifiée avec l’émergence de la question urbaine et ethnique (Robert Castell, 2009). En quoi ces changements transforment-ils le travail social?

Nous observons une extension des frontières du social qui se traduit par une multiplication de ses missions et un affaiblissement de sa cohérence. A côté des acteurs traditionnels comme les assistants sociaux, éducateurs et animateurs, de nouveaux métiers apparaissent: des manager de centre ville, chefs de projets, agents de prévention, coordinateur de projets de quartier, médiateurs. Se pose la question de l'unité dans la diversité à défaut de références déontologiques partagées (Boucher, 2004).

Le regard sociologique du travail social évolue: d'une critique du contrôleur social, on passe au regard de la « petite main gestionnaire  de la misère malgré lui ». Trois logiques sous tensions sont produites par les travailleurs sociaux: relationnel, contrôle et service (Dubet, 2002).

D'autres processus sont à l'oeuvre et restructurent le travail social: le nouvel esprit du capitalisme ou la logique du projet gagnent le social (Boltanski et Chiapello, 1999). Certains disent même que la logique gestionnaire s'impose avec le risque de tuer le social (Chauvière, 2007). Les modes d'intervention évoluent. L'approche sectorielle fait place à la territorialisation de l'intervention sociale et au développement de l'insertion (Ion, 2005, 2006, Hamzaoui, 2002) qui se traduisent par une nouvelle terminologie: cycle de projet, objectifs smart, partenariat, contrat, travail en réseau, développement social, participation, accompagnement, etc.

La cohésion sociale est devenue le complément indissociable de la compétitivité. Le délitement du lien social y est certainement pour quelque chose. Les frontières entre politiques sociales, de sécurité et de la ville deviennent floues (Donzelot, 2008). L'objectif se déplace-il de l'intégration vers la pacification sociale? Le terme de « prévention » a-t-il toujours le même sens?

« L'Etat social actif » est-il devenu le nouveau cadre de la gestion du social (Vieille, Pochet et Cassiers, 2005)? L'objectif de cette partie est de proposer une lecture interdisciplinaire des causes et conséquences de la transformation de l'état social. Les raisons de crise de l'Etat-Providence sont multiples. Au niveau du social nous pouvons observer un processus de décentralisation, renforçant les compétences des entités fédérées, mais surtout des communes. C'est la valorisation du local et de la proximité comme niveau d'intervention pertinent.

Quel est l'impact du changement institutionnel sur le travailleur social? Franssen (2005) montre que les reconfigurations des politiques sociales transforment leurs identités professionnelles. Il distingue trois types des stratégies identitaires: crise, défensive et offensive.

Que deviennent les publics et les usagers dans cette nouvelle constellation du social? L'activation est-elle source de « fatigue d'être soi » ou sources d'émancipation. Les interprétations divergent. Sans doute aussi parce que les traductions locales des politiques globales sont différentes. Noëlle Burgi (2006) a étudié les stratégies des « allocataires » dans ce contexte.

Dans ce contexte, Autes (2004) montre que les paradoxes du travail social sont multiples: pour atteindre l'objectif du travail social qui est d'ordre économique et politique, c'est-à-dire l'intégration sociale des usagers, il dispose de moyens d'ordre psycho-relationnel. Selon l'auteur, le passage du travail social à l'intervention sociale n'est pas nécessairement un progrès. L'offre change. Quatre évolutions caractérisent la mutation du système professionnel: déqualification du social par la montée en puissance des métiers à domicile, taylorisation des fonctions sociales, prédominance de la logique de l'urgence et du court terme et faible énoncé politique des missions (Autes, 2004). Pour Autes trois tendances s'accentuent: l'épuisement de la logique de la dette et son remplacement par celle du devoir, le règne de l'individu et une apesanteur politique.

IV. L'apprentissage par problème

Il s'agit de mettre les étudiants dans les conditions d'un processus d'apprentissage par problème. L'objectif de cette étape est de construire une approche méthodologique cohérente pour pouvoir confronter sur le terrain les processus théorisés préalablement. Que cherchons-nous, comment, pour quoi faire? Au coeur de ce processus sera l'analyse collective et individuelle d'une politique sociale en Belgique francophone: l'insertion socioprofessionnelle. La familiarisation avec une série de techniques et d'outils méthodologiques sera également au programme (la recherche documentaire, l'entretien, focus group, analyse en groupe).



- dossier de lecture:

Michel Autes, Les paradoxes du travail social, Dunod, 2004, p.1-6, p.259-276.

Robert Castel, La montée des incertitudes. Travail, protections, statuts de l'individu, Editions du Seuil, 2009, p.31-53.

Michel Chauvière, Trop de gestion tue le social. Essai sur une discrète chalandisation, La Découverte, 2007, p.7-16, p.201-209.

Dubet, F., Une expérience critique: les travailleurs sociaux, In: „Le déclin de l’institution“, Le Seuil, 2002, pp.235-239 et p. 255-264

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Mejed HAMZAOUI, Le travail social territorialisé, Les éditions de l’Université de Bruxelles, 2002, p.159-168.

Abraham Franssen, Etat social actif et métamorphoses des identités professionnelles, Pensées Plurielles, 2005, 10, p.137-147.

- bibliographie

- documents électroniques sur le campus virtuel

Cours magistral durant 15h et séminaire APP durant 30h

Pour préparer les séances de cours magistral, les étudiants doivent impérativement avoir lu les textes du dossier de lecture.

L'Apprentissage par Problème:

En raison de la disponibilité des professeurs, nous devons scinder le groupe. La première année sera accompagnée par Gregor Stangherlin le jeudi matin tandis que la seconde année sera accompagnée par Christophe Bartholomé le vendredi après-midi. Chaque groupe devra choisir un des 4 dispositifs d'insertion socioprofessionnelle (OISP, EFT, Régie de quartier, CPAS/le droit à l'intégration sociale, etc.) et le problématiser. L'APP se focalisera principalement sur les pratiques d'intervention sociale. Chaque groupe va passer par différentes étapes durant le processus d'apprentissage par problème: définition de la situation-problème, séance « aller » (identification du problème, élaboration d'un de recherche-action), travail de recherche individuel (appropriation du dossier de lecture, recherche documentaire, entretiens), la séance « experts », la séance « retour ». L'objectif de la séance « aller » est d'arrêter avec les étudiants les objectifs d'apprentissage pour l'analyse de chaque situation et de déterminer un cadre et une méthode de travailler pour y arriver. Les séances collectives (Aller/Experts/Retour) visent à préparer le travail d'apprentissage autonome qui suit. Idéalement, il faut inviter plusieurs experts de formation-métiers différents (éducateur, travailleur social, juriste, économiste, philosophe, psychologue, etc.) et qui maîtrisent la problématique. Si vous avez des difficultés à trouver des experts, n'hésitez pas à nous contacter. S'ils ne sont pas disponibles pour le jour de la rencontre, essayez de les voir avant cette date pour alimenter le débat avec les autres experts. Chaque étudiant devra obligatoirement réalisé un entretien individuel avec un usager ou gestionnaire du dispositif. Pour rappel, la présence de l'ensemble des étudiants aux séances aller/expert/retour est obligatoire! Indépendamment des objectifs que vous vous êtes fixés pour l'analyse de votre situation-problème, continuez à vous poser les questions ci-dessous: - Est-il pertinent de parler de politique d'activation dans le cadre de votre situation-problème? Si oui, en quoi, s'agit-il d'une politique d'activation ou d’un processus d’activation ? - Identifiez les bases légales et administratives de cette politique d'activation! - Quels sont les principales forces, faiblesses, risques et opportunités de cette politique? - Quelles sont les spécificités organisationnelles au niveau de la mise en œuvre de la politique d'activation? - Comment les différents acteurs (usagers, travailleurs sociaux, chef de services, décideurs politiques, associations, etc.) impliqués dans la situation vivent la situation? Essayez de comprendre leurs logiques d'action. - En quoi la politique d'activation change le travail social ? - Adoptez un regard interdisciplinaire (juridique, sociologique, économique, philosophique,...)! - D'un point de vue éthique et philosophique, posez-vous personnellement la question des apports et limites des politiques d'activation. A la fin du processus chaque groupe présentera d'une façon synthétique les principaux résultats de son APP (en 20 minutes et en deux pages).

Travail écrit et défense orale

Cours de première

Application de la théorie

Présentation d'exposés

Choix de l'étudiant

Maîtrise d’un métier du social et titulaire d’un bachelier

Objectif général :

Permettre aux populations concernées par l’action sociale (acteurs, « bénéficiaires »…), d’œuvrer conjointement à la mise en place de programmes[1] socioéconomiques en vue de répondre à différents besoins identifiés et ce dans une dynamique proche de l’économie sociale et solidaire.

Objectif spécifique :

Améliorer la conduite de projets socio économiques par des professionnels de l’action sociale en relation directe ou indirecte avec certaines populations spécifiques désirant se mobiliser pour trouver des solutions aux problèmes qu’elles rencontrent.

Résultats :

1. Le processus de formation élaboré en vue d’améliorer la conduite de projets socioéconomiques est présenté, orienté et mis en place de manière participative.

2. Une formation des étudiants (professionnels de l’action sociale) aux différentes dimensions de l’économie sociale (conceptuelle, organisationnelle, historique et structurelle) est opérée de manière théorique et participative.

3. Une introduction des étudiants  aux notions culturelles, institutionnelles et techniques de la gestion de projets est réalisée de manière théorique et participative.

4. Les compétences des étudiants en matières d’élaboration, de gestion et d’évaluation de projets sont renforcées

[1] Projet / programme : nuance mais dans le cas présent : synonymes

-         Conception et formulation de projets (Approche culturelle, acteurs institutionnels, GAR, GCP, Cadre logique, cartographie des incidences… et glossaire : vision mission…)

-          Elaboration, gestion et évaluation de projets (Elaboration : exercices pratiques, arbre à problèmes, proposition d’objectifs, de résultats et d’activités, approche via les marqueurs de progrès ou des indicateurs évolutifs. Gestion et évaluation : kit DD, tableau ATOL, SWOT, GAP, monitoring et évaluation via le cadre logique…)

-          Economie sociale (jeu de cartes sur les niveaux de pouvoir de notre société, notion de tiers secteur, historique, notions juridiques, approche ESS dans la gestion de projets en termes de structures et de mode de fonctionnement)

Livres

G. Bajoit, le Changement social, Ed. Armand Colin, 2003.

L. Boltansky et Eve Chiapello, le Nouvel esprit du capitalisme, Ed. Gallimard, 1999.

M. Castells, Le pouvoir de l’identité, Ed. Fayard, 1999.

M. Crozier et E. Friedberg, L’Acteur et le système, Les contraintes de l’action collective, Ed. Seuil, 1977.

J. Defourny, P. Develtere, B. Fonteneau, L’économie sociale et solidaire au Nord et au Sud, Ed. De Boeck, 1999.

Develtere P., Economie sociale et développement, Les coopératives, mutuelles et associations dans les pays en développement, Ed. De Boeck et Larcier s.a., 1998.

JL Laville et D. Cattani (dir.), Dictionnaire de l’autre économie, Ed. Folio actuel, 2006.

+ en cours d’élaboration

Articles

P. Develtere et B. Fonteneau, « Société civile, ONG, tiers secteur, mouvement social et économie sociale : conception au Nord, pertinence au Sud ? » in CRDC, KUL, 2002.

D. Gabriel, « Entreprendre autrement, une campagne pour une autre économie », in Journal Terre 122, Ed. Groupe Terre, 2008.

D. Gabriel, « Pour un changement social et économique », in Journal Terre 127, Ed. Groupe Terre, 2009.

+ en cours d’élaboration

Divers

PPT, outils audio-visuels, portefeuille de lectures, documents propres à la gestion de projets.

Examens : travail écrit intégrant les différents contenus du cours et défense orale

Aucun

Compétence 1 : Développer et pratiquer la recherche comme outil de compréhension critique et de diagnostic social et/ou comme appui au développement de services, projets, programmes, dispositifs ou politiques.

Compétence 2 : Adapter ou concevoir, conduire, dans une dynamique participative, des projets, programmes, dispositifs ou politiques d'action sociale.

Compétence 4 : Développer une démarche prospective et des pratiques d'évaluation.

Compétence 6 : Développer des pratiques de partenariat(s) et de réseau(x).



I. Les fondements des politiques sociales territoriales

Le modèle de la revitalisation urbaine intégrée (Séguin et Divay)

ses caractéristiques

trois types de stratégies

les postulats sous-jacents

la délimitation des zones

Les « nouveaux » instruments de l'action publique (Hamzaoui)

la territorialisation

de l'expérimentation à la généralisation

la contractualisation

le partenariat

l'implication/la participation

La cohésion sociale au coeur des politiques publiques (Donzelot)

II. Présentation critique de différentes politiques sociales territoriales (recherche des bases légales

Le Plan fédéral pour les Grandes Villes

Les ZIP-QI, Rénovation urbaine et Régie des quartiers en Wallonie

Les contrats de quartiers à Bruxelles

Les Agences Développement local (ADL) en Wallonie

Les plans de cohésion sociale en Région wallonne

Les contrats de sécurité et de société

Les AMO

III. Mettre en œuvre le développement social territorial (Bernoux)

L'approche DST: une nouvelle vision du « travail social »

Les freins du développement social territorial

Les arguments du DST

Les préalables politiques et institutionnels d'une orientation DST

Les prérequis méthodologiques d'un processus de développement social territorial

Opérationnaliser l'action dans une visée de DST

IV. Evaluer un plan d'action territorial (Cauquil)

Les enjeux stratégiques et managériaux de l'évaluation

Évaluer pour mesurer l'efficacité

Évaluer pour produire la transversalité dans l'action publique

Évaluer pour mobiliser les acteurs publics autour d'un même projet local

Évaluer pour accompagner le pilotage stratégique d'une politique locale

Que peut-on évaluer en matière de développement social local?

L'impact des plans d'action territoriaux ou thématiques

La transversalité de l'action publique

La participation des acteurs et habitants

- Portefeuille de lectures composé des textes suivants:

Anne-Marie Séguin et Gérard Divay, La lutte territorialisée contre la pauvreté : examen critique du modèle de revitalisation urbaine intégrée, Lien social et politique, Numéro 52 (Automne 2004).

Mejed Hamzaoui, Le travail social territorialisé, Chapitre VII: Les « nouveaux » instruments de l'action publique, pp.120-152. Editions de l'Université de Bruxelles, 2002.

Jacques Donzelot, Les politiques de cohésion sociales, In: Villes, violence et dépendance sociale. Les politiques de cohésion en Europe, La documentation française, 2008, pp. 7-23.

Jacques Donzelot (en collaboration avec Renaud Epstein), Démocratie et participation: l'exemple de la rénovation urbaine, in: La Ville à trois vitesses, Editions de la Vilette, 2009, pp. 77-104

Jean-François Bernoux, Mettre en œuvre le développement social territorial. Méthodologie, outils, pratiques. Dunod, 2005, pp.11-48.

Guy Cauquil, Conduire et évaluer les politiques sociales territorialisées, Dunond, 2004, pp. 156-170.

- Bibliographie

- Documents électroniques sur le campus virtuel

Cours de psychologie du travail de 1ière master en ingéniérie et action sociales

• Réinterroger sa pratique pour améliorer son bien-être personnel ainsi que la qualité de son travail 
• 2^ième volet des activités de base de la GRH en organisation : 
  • Organiser l’intégration d’un nouveau collaborateur
  • Evaluer la qualité des prestations et définir des actions de progrès – mettre en place un système de coaching individuel et de groupe.
  • Identifier les besoins en développement et définir un plan ad hoc
  • Rendre les individus acteurs de leur carrière et les accompagner dans leur évolution. Viser le développement d’une organisation « apprenante ».
  • Donner du sens et définir des objectifs motivants Manager la diversité – construire une équipe efficace. Gérer des situations collaborateurs difficiles, notamment des séparations ou des conflits Assurer et mettre en place un système de reconnaissance 

Module 0: Introduction – Méthodologie – Objectifs du cours

• Méthodologie
• Objectifs du cours
• Plan du cours
• Filmographie et travail individuel
• Système de cotations

Module 1: Quelques Outils et pratiques à la gestion des ressources humaines (2ième volet)

En construction

En cours d'élaboration

1^ière session:

10 % sur votre présence au cours durant l’année et participation aux travaux pratiques

20 % sur travail individuel et de recherche

70 % sur examen écrit

2^ième session:

100% sur examen écrit

Cours de psychologie du travail de 1ière master en ingéniérie et action sociales

• Réinterroger sa pratique pour améliorer son bien-être personnel ainsi que la qualité de son travail 
• 2^ième volet des activités de base de la GRH en organisation : 
  • Organiser l’intégration d’un nouveau collaborateur
  • Evaluer la qualité des prestations et définir des actions de progrès – mettre en place un système de coaching individuel et de groupe.
  • Identifier les besoins en développement et définir un plan ad hoc
  • Rendre les individus acteurs de leur carrière et les accompagner dans leur évolution. Viser le développement d’une organisation « apprenante ».
  • Donner du sens et définir des objectifs motivants Manager la diversité – construire une équipe efficace. Gérer des situations collaborateurs difficiles, notamment des séparations ou des conflits Assurer et mettre en place un système de reconnaissance 

Module 0: Introduction – Méthodologie – Objectifs du cours

• Méthodologie
• Objectifs du cours
• Plan du cours
• Filmographie et travail individuel
• Système de cotations

Module 1: Quelques Outils et pratiques à la gestion des ressources humaines (2ième volet)

En construction

En cours d'élaboration

1^ière session:

10 % sur votre présence au cours durant l’année et participation aux travaux pratiques

20 % sur travail individuel et de recherche

70 % sur examen écrit

2^ième session:

100% sur examen écrit

Le cours de première année.

Elaboration de messages dont l'objet est une communication sociale externe visant les partenaires, professionnels, les publics bénéficiaires, le grand public.

Maîtrise des outils et méthodes (relations publiques, communication avec la presse, réseaux associatifs, documents audiovisuels)

I. Les outils de communication avec la presse (Communiqué de presse, conférence de presse, etc.)

II. Les outils de communication spécifiques à la communication sociale : presse associative, reportage, film documentaire, théâtre-action...

COLLET, H., Communiquer Pourquoi, comment ?, CRIDEC, 2004.

WESTPHALEN, M.H., LIBAERT, T., Communicator, toute la communication d'entreprise, DUNOD, 2009. 

le cours de première année

Approche et mise en oeuvre des techniques liées à la conduite des réunions (réunion-discussion, réunion d'information, interview de groupe, négociation)

Intégration de la dimension interculturelle dans la situation de groupe.

I. La conduite des réunions : problèmes psychologiques posés par la conduite des réunions.

II. Les différents types de réunion (approche théorique et pratique)

III. La dimension interculturelle dans la gestion d'un groupe, y compris les stratégies de communication interculturelle.

CARRE, C., Animer un groupe, Eyrolles, 2007. 

CAUVIN, P., La cohésion des équipes, ESF, 1997.

MUCCHIELLI, R., La conduite des réunions, ESF, 1996.

MUCCHIELLI, A., Théorie des processus de la communication, A.Colin, 1998. 

en fait, le cours comporte donc 2 parties relativement distinctes même s’il existe certaines corrélations. Plus particulièrement, nous envisagerons l’aspect international et européen du Droit dans sa dimension sociale principalement.

Le but essentiel, en un cours de 30 heures, étant de donner aux étudiants les clefs de résolution des problèmes les plus courants rencontrés en tant qu’ « employeur » devant gérer le personnel d’une association.

Mais aussi, en étudiant les avancées sociales du Droit Européen, de pouvoir appréhender les perspectives de l’ouverture du Marché aux associations en vue de l’essai d’une Europe plus sociale

q       Le droit social en Belgique :

1. La loi du 3 juillet 1978 sur le contrat de travail
2. Le statut du personnel des ASBL exerçant une mission de service public
3. Statut du personnel transféré du public au privé lors d’une privatisation d’un service public
4. La responsabilité – pénale et civile – de la personne morale en tant qu’employeur
5. Les accidents de travail
6. Le règlement de travail

q       Le droit social international :

1. l’O.I.T.
2. le Traité de Rome
3. conventions multilatérales et bilatérales

q       le droit européen :

1. les institutions européennes
2. règlements, directives, décisions, recommandations
3. l’Europe sociale : des pouvoirs limités car laissés à la souveraineté nationale des Etats, mais une coordination qui prend de l’ampleur afin de préserver le modèle social européen, l’action du Fonds social européen
4. les défis sociaux de l’Europe : l’Europe des services, la lutte cotre l’exclusion sociale, l’immigration non-européenne, l’emploi, les droits des travailleurs dans l’entreprise, la Charte Sociale Européenne, l’égalité hommes-femmes, la sécurité sociale des travailleurs européens migrants, prendre sa retraite, ..

Débat à préparer sur un thème relatif à l’Europe sociale

Comprendre et analyser les processus de communication et leurs composantes.

- Comprendre et maîtriser les enjeux de la communication sociale dans l'acception proposée par H.Collet : "un système de pensée et d'action qui cherche à promouvoir la personne humaine(...)en tant que sujet, autant qu'objet, de communication".

- Etre capable d'élaborer une communication institutionnelle en relation avec les enjeux visés ci-dessus.

approche générale de la communication, la communication sociale (définition, objectifs, destinataires, charte éthique), grille d'élaboration d'un projet de communication.

COLLET, H., Communiquer, pourquoi, comment ?, CRIDEC, 2004.

MEUNIER, J.P., PERAYA, D., Introduction aux théories de la communication, De Boeck, 1996.

WESTPHALEN, M.H., LIBAERT, T., Communicator, Dunod, 2009.

WATZLAWICK, P. et al, Une logique de la communication, Seuil, 1972.

Cours de comptabilité des associations de première année.

L'étudiant sera capable de :

- utiliser un budget appropriée à la gestion d'une association;

- comprendre la pertinence de la tenue d'un tel budget comme outil de gestion indispensable;

- analyser les comptes annuels d'une association pour y trouver des indicateurs de sa santé financière et de ses moyens disponibles.

Le budget des associations :

- un budget, pour quoi faire?

- le budget des petites ASBL,

- le budget des grandes ASBL.

Analyse financière :

- lecture des comptes annuels,

- quelques ratios utiles.

Lois et A.R depuis le 2 mai 2002.

La santé financière et la comptabilité des associations, Fondation Roi Baudouin, Bruxelles, 2004.

La comptabilité des grandes ASBL, Fernand Maillard, Ed. Edipro (CCI), Liège, 2007

Néant

L'étudiant sera capable de comprendre son environnement politique dans son aspect budgétaire.

Les institutions belges

La politique budgétaire

Les finances publiques

Finances publiques, Karl Almer, HEPL.

Approche méthodologique et réflexive des enjeux et finalités du marketing social. Compréhension des enjeux.A la fin du cours l’étudiant devra être capable de comprendre les mécanismes en jeu dans une stratégie marketing et ébaucher un plan marketing pour une institution sociale.

Introduction générale, le contexte, les définitions

Méthodologie du marketing : la planification à la base de tout

Les objectifs

Les différents publics cibles

L’étude de l’environnement, les études de marché

Les outils

L’évaluation

Le loup dans la bergerie ? réflexions et questionnements à propos des valeurs, des enjeux et des finalités du marketing social.

CHAUVIERE Michel, Trop de gestion tue le social. Essai sur une discrète chalandisation, La découverte, Paris, 2010

LIBAERT Thierry et PIERLOT Jean-Marie, Communication des associations, Dunod Associations, Paris 2009

WESTPHALEN Marie-Hélène, Communicator 4^ème édition, Dunod, 2004

Lors de chaque séance, l’enseignante fera des exposés pendant lesquels les étudiants seront invités à intervenir régulièrement.

Intervention d’un professionnel du web

AUCUN

Ce cours est intégré à celui de "Conduite de réunions et gestion de groupes". Il a pour but d'envisager la dimension interculturelle dans la situation de groupe et de proposer des stratégies de communication interculturelle.

Intégration de la dimension interculturelle dans le groupe professionnel à travers des exercices liés à la conduite de réunions.

BARRETTE, C., Guide de la communication interculturelle, ERPI, 1996.

COSTA-LASCOUX, J., Pluralité des cultures et dynamiques identitaires, L'Harmattan, 2000.

De VILLANOVA, R., Construire l'interculturel ?, L'Harmattan, 2001.

Aucun

 Compétence 1 : Développer et pratiquer la recherche comme outil de compréhension critique et de diagnostic social et/ou comme appui au développement de services, projets, programmes, dispositifs ou politiques.

Compétence 2 : Adapter ou concevoir, conduire, dans une dynamique participative, des projets, programmes, dispositifs ou politiques d'action sociale.

Compétence 4 : Développer une démarche prospective et des pratiques d'évaluation.

Compétence 6 : Développer des pratiques de partenariat(s) et de réseau(x).

I. Les fondements des politiques sociales territoriales

Le modèle de la revitalisation urbaine intégrée (Séguin et Divay)

ses caractéristiques

trois types de stratégies

les postulats sous-jacents

la délimitation des zones

Les « nouveaux » instruments de l'action publique (Hamzaoui)

la territorialisation

de l'expérimentation à la généralisation

la contractualisation

le partenariat

l'implication/la participation

La cohésion sociale au coeur des politiques publiques (Donzelot)

II. Présentation critique de différentes politiques sociales territoriales (recherche des bases légales

Le Plan fédéral pour les Grandes Villes

Les ZIP-QI, Rénovation urbaine et Régie des quartiers en Wallonie

Les contrats de quartiers à Bruxelles

Les Agences Développement local (ADL) en Wallonie

Les plans de cohésion sociale en Région wallonne

Les contrats de sécurité et de société

Les AMO

III. Mettre en œuvre le développement social territorial (Bernoux)

L'approche DST: une nouvelle vision du « travail social »

Les freins du développement social territorial

Les arguments du DST

Les préalables politiques et institutionnels d'une orientation DST

Les prérequis méthodologiques d'un processus de développement social territorial

Opérationnaliser l'action dans une visée de DST

IV. Evaluer un plan d'action territorial (Cauquil)

Les enjeux stratégiques et managériaux de l'évaluation

Évaluer pour mesurer l'efficacité

Évaluer pour produire la transversalité dans l'action publique

Évaluer pour mobiliser les acteurs publics autour d'un même projet local

Évaluer pour accompagner le pilotage stratégique d'une politique locale

Que peut-on évaluer en matière de développement social local?

L'impact des plans d'action territoriaux ou thématiques

La transversalité de l'action publique

La participation des acteurs et habitants

- Portefeuille de lectures composé des textes suivants:

Anne-Marie Séguin et Gérard Divay, La lutte territorialisée contre la pauvreté : examen critique du modèle de revitalisation urbaine intégrée, Lien social et politique, Numéro 52 (Automne 2004).

Mejed Hamzaoui, Le travail social territorialisé, Chapitre VII: Les « nouveaux » instruments de l'action publique, pp.120-152. Editions de l'Université de Bruxelles, 2002.

Jacques Donzelot, Les politiques de cohésion sociales, In: Villes, violence et dépendance sociale. Les politiques de cohésion en Europe, La documentation française, 2008, pp. 7-23.

Jacques Donzelot (en collaboration avec Renaud Epstein), Démocratie et participation: l'exemple de la rénovation urbaine, in: La Ville à trois vitesses, Editions de la Vilette, 2009, pp. 77-104

Jean-François Bernoux, Mettre en œuvre le développement social territorial. Méthodologie, outils, pratiques. Dunod, 2005, pp.11-48.

Guy Cauquil, Conduire et évaluer les politiques sociales territorialisées, Dunond, 2004, pp. 156-170.

- Bibliographie

- Documents électroniques sur le campus virtuel

Cours magistal, séminaire avec des experts, visite de terrain

travail écrit: analyse critique d'une politique, d'un dispositif ou d'un projet avec les supports pédagogiques du cours

Aucun

Compétence 2 : Adapter ou concevoir, conduire, dans une dynamique participative, des projets, programmes, dispositifs ou politiques d'action sociale.

Compétence 4 : Développer une démarche prospective et des pratiques d'évaluation.



- Les enjeux stratégiques et managériaux de l'évaluation

• Évaluer pour mesurer l'efficacité
• Évaluer pour produire la transversalité dans l'action publique
• Évaluer pour mobiliser les acteurs publics autour d'un même projet local
• Évaluer pour accompagner le pilotage stratégique d'une politique locale

- Que peut-on évaluer en matière de développement social local?

• L'impact des plans d'action territoriaux ou thématiques
• La transversalité de l'action publique
• La participation des acteurs et habitants 

Guy Cauquil, Conduire et évaluer les politiques sociales territorialisées, Dunond, 2004, pp. 156-170

Maîtrise d’un métier du social et titulaire d’un bachelier

Objectif général :

Permettre aux populations concernées par l’action sociale (acteurs, « bénéficiaires »…), d’œuvrer conjointement à la mise en place de programmes[1] socioéconomiques en vue de répondre à différents besoins identifiés et ce dans une dynamique proche de l’économie sociale et solidaire.

Objectif spécifique :

Améliorer la conduite de projets socio économiques par des professionnels de l’action sociale en relation directe ou indirecte avec certaines populations spécifiques désirant se mobiliser pour trouver des solutions aux problèmes qu’elles rencontrent.

Résultats :

1. Le processus de formation élaboré en vue d’améliorer la conduite de projets socioéconomiques est présenté, orienté et mis en place de manière participative.

2. Une introduction des étudiants  aux notions culturelles, institutionnelles et techniques de la gestion de projets est réalisée de manière théorique et participative.

[1] Projet / programme : nuance mais dans le cas présent : synonymes

-          Conception et formulation de projets (Approche culturelle, acteurs institutionnels, GAR, GCP, Cadre logique, cartographie des incidences… et glossaire : vision mission…)

Bibliographie

Livres

G. Bajoit, le Changement social, Ed. Armand Colin, 2003.

L. Boltansky et Eve Chiapello, le Nouvel esprit du capitalisme, Ed. Gallimard, 1999.

M. Castells, Le pouvoir de l’identité, Ed. Fayard, 1999.

M. Crozier et E. Friedberg, L’Acteur et le système, Les contraintes de l’action collective, Ed. Seuil, 1977.

J. Defourny, P. Develtere, B. Fonteneau, L’économie sociale et solidaire au Nord et au Sud, Ed. De Boeck, 1999.

Develtere P., Economie sociale et développement, Les coopératives, mutuelles et associations dans les pays en développement, Ed. De Boeck et Larcier s.a., 1998.

JL Laville et D. Cattani (dir.), Dictionnaire de l’autre économie, Ed. Folio actuel, 2006.

+ en cours d’élaboration

Articles

P. Develtere et B. Fonteneau, « Société civile, ONG, tiers secteur, mouvement social et économie sociale : conception au Nord, pertinence au Sud ? » in CRDC, KUL, 2002.

D. Gabriel, « Entreprendre autrement, une campagne pour une autre économie », in Journal Terre 122, Ed. Groupe Terre, 2008.

D. Gabriel, « Pour un changement social et économique », in Journal Terre 127, Ed. Groupe Terre, 2009.

+ en cours d’élaboration

Divers

PPT, outils audio-visuels, portefeuille de lectures, documents propres à la gestion de projets.

Séminaires et ateliers participatifs

Examens : travail écrit intégrant les différents contenus du cours et défense orale

Bachelier

Développer un projet d'action sociale innovant, ce projet devant être le résultat concret de l'analyse critique d'une politique sociale.

ET/OU Mener une recherche comme point d'appui à des projets d'innovation ou d'adaptation sociale.

ET/OU Analyser, concevoir et développer des outils pour une gestion plus optimale des ressources humaines.

ET/OU Mener une approche réflexive visant à évaluer des programmes d'action sociale et/ou des pratiques d'intervention sociale.

Participation aux activités d'une institution du secteur non marchand.

Stages de 1ère et de 2ème année.

Choisir, traiter de façon conceptuelle et pratique, analyser, exposer par écrit et oralement une problématique en relation avec l'ingénierie et l'action sociales (projet d'action sociale, recherche comme point d'appui à des projets d'innovation ou d'adaptation sociale, outils de management, ...).

Le T.F.E. comprend généralement une analyse institutionnelle, un cadre conceptuel et un développement plus pratique d'une problématique en relation avec l'ingénierie et l'action sociales (projet d'action sociale, recherche, gestion, ...). 

Epreuve écrite.

Epreuve orale.

Evaluation par un Jury composé de professionnels extérieurs et de professeurs internes à la Haute Ecole.

Aucun

L’informatisation de la comptabilité d’une ASBL grâce à un progiciel comptable « BOB ».

L’étudiant sera capable de :

• Créer un dossier comptable.
• Manipuler des fichiers comptables de base.
• Saisir des écritures propres à la comptabilité d’une ASBL.
• Consulter des comptes et des journaux.
• Rechercher des documents dans BOB.
• Imprimer des documents comptables.
• Récupérer des données BOB sur Excel.

• Introduction à BOB
• Notions fondamentales
• Saisie des écritures
• Consultations et impressions de documents
• Récupération de données BOB

Maîtrise d’un métier du social et titulaire d’un bachelier

Objectif général :

Permettre aux populations concernées par l’action sociale (acteurs, « bénéficiaires »…), d’œuvrer conjointement à la mise en place de programmes[1] socioéconomiques en vue de répondre à différents besoins identifiés et ce dans une dynamique proche de l’économie sociale et solidaire.

Objectif spécifique :

Améliorer la conduite de projets socio économiques par des professionnels de l’action sociale en relation directe ou indirecte avec certaines populations spécifiques désirant se mobiliser pour trouver des solutions aux problèmes qu’elles rencontrent.

Résultats :

1. Le processus de formation élaboré en vue d’améliorer la conduite de projets socioéconomiques est présenté, orienté et mis en place de manière participative.

2. Une formation des étudiants (professionnels de l’action sociale) aux différentes dimensions de l’économie sociale (conceptuelle, organisationnelle, historique et structurelle) est opérée de manière théorique et participative.

[1] Projet / programme : nuance mais dans le cas présent : synonymes

Economie sociale (les niveaux de pouvoir de notre soc. notion de tiers secteur, historique, notions juridiques, approche ESS dans la gestion de proj. en termes de structures et de mode de fonctionnement)

Livres

G. Bajoit, le Changement social, Ed. Armand Colin, 2003.

L. Boltansky et Eve Chiapello, le Nouvel esprit du capitalisme, Ed. Gallimard, 1999.

M. Castells, Le pouvoir de l’identité, Ed. Fayard, 1999.

M. Crozier et E. Friedberg, L’Acteur et le système, Les contraintes de l’action collective, Ed. Seuil, 1977.

J. Defourny, P. Develtere, B. Fonteneau, L’économie sociale et solidaire au Nord et au Sud, Ed. De Boeck, 1999.

Develtere P., Economie sociale et développement, Les coopératives, mutuelles et associations dans les pays en développement, Ed. De Boeck et Larcier s.a., 1998.

JL Laville et D. Cattani (dir.), Dictionnaire de l’autre économie, Ed. Folio actuel, 2006.

+ en cours d’élaboration

Articles

P. Develtere et B. Fonteneau, « Société civile, ONG, tiers secteur, mouvement social et économie sociale : conception au Nord, pertinence au Sud ? » in CRDC, KUL, 2002.

D. Gabriel, « Entreprendre autrement, une campagne pour une autre économie », in Journal Terre 122, Ed. Groupe Terre, 2008.

D. Gabriel, « Pour un changement social et économique », in Journal Terre 127, Ed. Groupe Terre, 2009.

+ en cours d’élaboration

Divers

PPT, outils audio-visuels, portefeuille de lectures, documents propres à la gestion de projets.

Séminaires et ateliers participatifs

Examens : travail écrit intégrant les différents contenus du cours et défense orale

Bachelier

Ce cours analysera les fondements des théories et méthodologies d'action sociale de manière à faire ressortir leurs présupposés politiques, idéologiques et culturels 

Les thématiques abordées pourront être la psychologisation de l'action sociale, la responsabilisation des individus et la question de la "gestion de la diversité".

CASTEL R., La montée des incertitudes, Paris, Seuil, 2009.

VRANCKEN D., Le crépuscule du social, Bruxelles, Labor, 2002.

VRANCKEN D., Le Nouvel Ordre Protectionnel, Paris, Parangon, 2009, à paraître.

VRANCKEN D. et MACQUET Cl., Le travail sur Soi, Paris, Belin, 2006.

Un portefeuille de lecture d’articles sera proposé

néant

- analyser une problématique sociale de façon double

1° en en étudiant le sens et la prégnance empirique

2° en en faisant surgir les enjeux idéologiques et philosophiques

- développer une réflexion théorique permettant de comprendre la problématique étudiée;

- tracer des pistes possibles d'action, destinées à répondre à la problématique étudiée

Chp. 1 du rôle et de la place du Politique dans le social

Chp. 2 violence et société

chp. 3 corps et corps social

Pas d'ouvrage de référence principal; nombreux extraits de livres, articles, dossiers, ...

Matières du cours de la 1ère année

Optimalisation des compétences de compréhension par le biais d’activités de lecture basées sur une sélection diversifiée de documents traitant de problématiques sociales. Extension des connaissances de la terminologie spécifique à l’anglais des sciences sociales. Amélioration de l’aptitude à synthétiser et à traduire efficacement des informations et des données extraites des documents précités.

Sélection de documents originaux variés couvrant divers sujets à orientation sociale. Les sujets et problématiques ci-après seront, entre autres, abordés : endettement et saisies, chômage, allocations (conditions d'octroi et formulaires de demande), immigration, services sociaux aux USA (y compris : introduction générale, histoire, organisation, sécurité sociale, aide sociale, seuil de pauvreté, etc.), système de soins de santé américain (y compris la dernière réforme Obama).

1. Dossier de lecture avec la sélection des documents originaux.

2. Fascicule : exercices complémentaires (compréhension à la lecture, vocabulaire, traduction)

3. Dossier de lecture « mode auto-apprentissage » (sélection de documents à préparer pour l’examen écrit)

L’apprentissage d’une langue étrangère étant un processus actif, nous insistons plus particulièrement sur :

-          présence régulière aux cours

 -          participation active

-     réalisation des travaux et préparations

Baccalauréat.

Maîtrise d'un métier du social - Droit public et administratif

Maîtriser le contexte social dans lequel le professionnel va devoir évoluer et faire évoluer l'institution dans laquelle il exerce(ra) son activité

• 1. Analyse du contexte institutionnel :

- courte histoire de la Belgique institutionnelle

- organisation de l'état (notions, séparation des pouvoirs, etc..)

- fonctionnement institutionnel (survol)

• 2. Répartition des compétences sociales :

- politiques sociales fédérales

- politiques sociales communautaires et régionales

- politiques sociales locales

• 3. Identification des pouvoirs subventionnants :

- pouvoirs publics belges

- Subventions européennes

- opérateurs privés

• 4. Liens avec le cours d'Elaboration, gestion et évaluation de projets
• 5. Questions particulières

Décrets, arrêtés et règlements

Guide social

Le cours est dispensé oralement à raison de 2 heures /semaine.

Il s'agit d'un cours magistral.

Des exercices d'analyse et d'élaboration de projets seront envisagés aux fins de remettre le contenu du cours en rapport avec la réalité