HEPL

Baccalauréat.

Maîtrise d'un métier du social

Comprendre l'intérêt du développement de l'économie sociale dans le cadre d'un contexte économique marchand.

• 1. Contexte de l'économie sociale en Wallonie :

- aspects statistiques

- notions (marchand, non-marchand, finalité sociale, etc..)

- contexte légal (décrets, arrêtés, règlements, etc..), économique et social

• 2. Les acteurs de l'économie sociale :

- structures porteuses (sociétés coopératives, ASBL, services publics ?)

- insertion dans les réseaux (concertations, fédérations, CP, etc..)

- liens aval (professionnels) et amont (formation)

• 3. Méthodologie et moyens de l'économie sociale :

- professionnalisation

- commercialisation

- subventionnement

- insertion socioprofessionnelle

- management

• 4. Publics de l'économie sociale :

- clients

- travailleurs

- services publics

• 5. Défis particuliers de l'économie sociale :

- rôle du travailleur social

- problématique du parcours d'insertion

- éthique et secret professionnel

- logique d'action ou logique d'acteur (centrage sur la personne ou sur l'emploi) ?

- pièges à l'emploi

Décrets, arrêtés et règlements

Le cours est dispensé oralement à raison de 2 heures /semaine.

Il s'agit d'un cours magistral.

Une visite d'experts et/ou de personnes de références externes à l'établissement est prévue durant les cours.

Un examen écrit est prévu pour vérifier à la fois la mémorisation des concepts et l'esprit d'analyse critique.

Baccalauréat.

Maîtrise d'un métier du social - Droit public et administratif

Maîtriser le contexte social dans lequel le professionnel va devoir évoluer et faire évoluer l'institution dans laquelle il exerce(ra) son activité

• 1. Analyse du contexte institutionnel :

- courte histoire de la Belgique institutionnelle

- organisation de l'état (notions, séparation des pouvoirs, etc..)

- fonctionnement institutionnel (survol)

• 2. Répartition des compétences sociales :

- politiques sociales fédérales

- politiques sociales communautaires et régionales

- politiques sociales locales

• 3. Identification des pouvoirs subventionnants :

- pouvoirs publics belges

- Subventions européennes

- opérateurs privés

• 4. Liens avec le cours d'Elaboration, gestion et évaluation de projets
• 5. Questions particulières

Décrets, arrêtés et règlements

Guide social

Le cours est dispensé oralement à raison de 2 heures /semaine.

Il s'agit d'un cours magistral.

Des exercices d'analyse et d'élaboration de projets seront envisagés aux fins de remettre le contenu du cours en rapport avec la réalité

Un examen écrit est prévu pour vérifier à la fois la mémorisation des concepts et l'esprit d'analyse critique.

Aucun.

Ce cours a pour objectif principal de poser les bases qui permettront à l'étudiant de comprendreles principaux concepts et les principales institutions du droit public.

Notion et définition du Droit.

Les sources de droit.

L'organisation politique de la Belgique:

1. L'état fédéral.
2. Les communautés.
3. Les régions.
4. Les provinces.
5. Les communes.

L'organisation judiciaire:

1. Organigramme.
2. Compétences matérielles et territoriales.

Les libertés publiques.

Aucun

Repérer les différentes catégories a priori avec lesquelles nous analysons la société

Lecture de différents auteurs et création d'un réseaux théorique

¡ACCARDO A., 2006, Introduction à une sociologie critique:  lire Bourdieu, Marseille, Agone, Éléments, 380p ¡ARON R., 1967, Les étapes de la pensée sociologique, Paris, Gallimard, Tel, 662p ¡BOLTANSKI L. et THEVENOT L., 1991, De la justification : les économies de la grandeur, Paris,  Gallimard, nrf essais, 482p ¡BOLTANSKI L.et CHIAPELLO E., 1999, Le nouvel esprit du capitalisme, Paris, Gallimard ¡NACHI M., 2006, Introduction à la sociologie pragmatique,  Armand Colin, Paris, Cursus ¡BOURDIEU P., PASSERON J-C., 1964, Les héritiers : les étudiants et la culture, Paris, Editions de Minuit, Le sens commun, 182p ¡CROZIER M. et FRIEDBERG E.,1977, L’acteur et le système, Paris, Point, 499p ¡LEMEL Y., 2004, Les classes sociales, Paris, PUF, Que sais-je?, 120p ¡RICOEUR P., 1997, L’idéologie et l’utopie, Paris, Seuil, La couleur des idées, 411p

Bachelier

Compétence 1 : Développer et pratiquer la recherche comme outil de compréhension critique et de diagnostic social et/ou comme appui au développement de services, projets, programmes, dispositifs ou politiques.

Compétence 2 : Adapter ou concevoir, conduire, dans une dynamique participative, des projets, programmes, dispositifs ou politiques d'action sociale.

Compétence 7 : Innover en matière de politiques et de pratiques sociales. 

I. Présentation des objectifs du cours et de la méthodologie de l'apprentissage par problème

guide méthodologique des différentes étapes (aller, travail de recherche individuel et collectif, séance experte, retour), choix des thèmes, recherche documentaire, élaboration d'une situation-problème, formation des groupes

II. La société du risque et la société en réseau, deux facettes de notre société contemporaine

Ulrich Beck (1986) définit notre société contemporaine comme une « société du risque ». Il soutient l’hypothèse que durant la société industrielle, la logique de production des richesses a dominé la logique de production des risques. Dans la société du risque, le rapport s'inverse. La logique de production des risques domine la logique de production des richesses. L’individualisation des inégalités sociales et la « détraditionnalisation » des formes de vie de la société industrielle sont deux conséquences de ce changement de logique. Pour Robert Castel (2009: 30-38) la « société des individus » est aussi une « société du risque ». Il distingue trois configurations principales: risque social, « population à risque » et les « nouveaux risques ».

Pour Manuel Castells (1996, 1998), une révolution des technologies de l'information est le moteur d'un processus de transformation, de la finance, de l'économie, du travail, de l'entreprise, de la politique, de la culture, des identités, des conceptions du temps et de l'espace, qui interroge profondément la question sociale et nous oblige à inventer des nouvelles réponses institutionnelles et organisationnelles aux problèmes sociaux.

III. La transformation de la question sociale, de l'Etat social et du travail social

La seconde partie du cours a pour objectif de présenter les hypothèses fortes concernant la transformation du social et de les interroger. Cette étape sera à la base de l'élaboration des questions qui guideront les étudiants dans leur recherche de terrain durant la troisième phase du cours.

Le changement social des cinquante dernières années a radicalement transformé la question sociale (Rosanvallon, 1995) et nous oblige de repenser le social. Le travail reste au coeur de la question sociale même si celle-ci s’est complexifiée avec l’émergence de la question urbaine et ethnique (Robert Castell, 2009). En quoi ces changements transforment-ils le travail social?

Nous observons une extension des frontières du social qui se traduit par une multiplication de ses missions et un affaiblissement de sa cohérence. A côté des acteurs traditionnels comme les assistants sociaux, éducateurs et animateurs, de nouveaux métiers apparaissent: des manager de centre ville, chefs de projets, agents de prévention, coordinateur de projets de quartier, médiateurs. Se pose la question de l'unité dans la diversité à défaut de références déontologiques partagées (Boucher, 2004).

Le regard sociologique du travail social évolue: d'une critique du contrôleur social, on passe au regard de la « petite main gestionnaire  de la misère malgré lui ». Trois logiques sous tensions sont produites par les travailleurs sociaux: relationnel, contrôle et service (Dubet, 2002).

D'autres processus sont à l'oeuvre et restructurent le travail social: le nouvel esprit du capitalisme ou la logique du projet gagnent le social (Boltanski et Chiapello, 1999). Certains disent même que la logique gestionnaire s'impose avec le risque de tuer le social (Chauvière, 2007). Les modes d'intervention évoluent. L'approche sectorielle fait place à la territorialisation de l'intervention sociale et au développement de l'insertion (Ion, 2005, 2006, Hamzaoui, 2002) qui se traduisent par une nouvelle terminologie: cycle de projet, objectifs smart, partenariat, contrat, travail en réseau, développement social, participation, accompagnement, etc.

La cohésion sociale est devenue le complément indissociable de la compétitivité. Le délitement du lien social y est certainement pour quelque chose. Les frontières entre politiques sociales, de sécurité et de la ville deviennent floues (Donzelot, 2008). L'objectif se déplace-il de l'intégration vers la pacification sociale? Le terme de « prévention » a-t-il toujours le même sens?

« L'Etat social actif » est-il devenu le nouveau cadre de la gestion du social (Vieille, Pochet et Cassiers, 2005)? L'objectif de cette partie est de proposer une lecture interdisciplinaire des causes et conséquences de la transformation de l'état social. Les raisons de crise de l'Etat-Providence sont multiples. Au niveau du social nous pouvons observer un processus de décentralisation, renforçant les compétences des entités fédérées, mais surtout des communes. C'est la valorisation du local et de la proximité comme niveau d'intervention pertinent.

Quel est l'impact du changement institutionnel sur le travailleur social? Franssen (2005) montre que les reconfigurations des politiques sociales transforment leurs identités professionnelles. Il distingue trois types des stratégies identitaires: crise, défensive et offensive.

Que deviennent les publics et les usagers dans cette nouvelle constellation du social? L'activation est-elle source de « fatigue d'être soi » ou sources d'émancipation. Les interprétations divergent. Sans doute aussi parce que les traductions locales des politiques globales sont différentes. Noëlle Burgi (2006) a étudié les stratégies des « allocataires » dans ce contexte.

Dans ce contexte, Autes (2004) montre que les paradoxes du travail social sont multiples: pour atteindre l'objectif du travail social qui est d'ordre économique et politique, c'est-à-dire l'intégration sociale des usagers, il dispose de moyens d'ordre psycho-relationnel. Selon l'auteur, le passage du travail social à l'intervention sociale n'est pas nécessairement un progrès. L'offre change. Quatre évolutions caractérisent la mutation du système professionnel: déqualification du social par la montée en puissance des métiers à domicile, taylorisation des fonctions sociales, prédominance de la logique de l'urgence et du court terme et faible énoncé politique des missions (Autes, 2004). Pour Autes trois tendances s'accentuent: l'épuisement de la logique de la dette et son remplacement par celle du devoir, le règne de l'individu et une apesanteur politique.

IV. L'apprentissage par problème

Il s'agit de mettre les étudiants dans les conditions d'un processus d'apprentissage par problème. L'objectif de cette étape est de construire une approche méthodologique cohérente pour pouvoir confronter sur le terrain les processus théorisés préalablement. Que cherchons-nous, comment, pour quoi faire? Au coeur de ce processus sera l'analyse collective et individuelle d'une politique sociale en Belgique francophone: l'insertion socioprofessionnelle. La familiarisation avec une série de techniques et d'outils méthodologiques sera également au programme (la recherche documentaire, l'entretien, focus group, analyse en groupe).

- dossier de lecture:

Ulrich Beck, La société du risque. Sur la voie d’une autre modernité, 1984, pp.19-31, p.35-43, p. 157-167, p.231-237, p.337-346.

Manuel Castells, La société en réseau, Fayard, 2001, pp.23-55, p.575-585.

Manuel Castells, Le Pouvoir de l’identité, Fayard, 1999, pp.11-23, p.133, p.143, p.169-173, p.425-435.

Michel Autes, Les paradoxes du travail social, Dunod, 2004, p.1-6, p.259-276.

Robert Castel, La montée des incertitudes. Travail, protections, statuts de l'individu, Editions du Seuil, 2009, p.31-53.

Michel Chauvière, Trop de gestion tue le social. Essai sur une discrète chalandisation, La Découverte, 2007, p.7-16, p.201-209.

Dubet, F., Une expérience critique: les travailleurs sociaux, In: „Le déclin de l’institution“, Le Seuil, 2002, pp.235-239 et p. 255-264

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Mejed HAMZAOUI, Le travail social territorialisé, Les éditions de l’Université de Bruxelles, 2002, p.159-168.

Abraham Franssen, Etat social actif et métamorphoses des identités professionnelles, Pensées Plurielles, 2005, 10, p.137-147.

- bibliographie

- documents électroniques sur le campus virtuel

Cours magistral durant 15h et séminaire APP durant 30h

Pour préparer les séances de cours magistral, les étudiants doivent impérativement avoir lu les textes du dossier de lecture.

L'Apprentissage par Problème:

En raison de la disponibilité des professeurs, nous devons scinder le groupe. La première année sera accompagnée par Gregor Stangherlin le jeudi matin tandis que la seconde année sera accompagnée par Christophe Bartholomé le vendredi après-midi. Chaque groupe devra choisir un des 4 dispositifs d'insertion socioprofessionnelle (OISP, EFT, Régie de quartier, CPAS/le droit à l'intégration sociale, etc.) et le problématiser. L'APP se focalisera principalement sur les pratiques d'intervention sociale. Chaque groupe va passer par différentes étapes durant le processus d'apprentissage par problème: définition de la situation-problème, séance « aller » (identification du problème, élaboration d'un de recherche-action), travail de recherche individuel (appropriation du dossier de lecture, recherche documentaire, entretiens), la séance « experts », la séance « retour ». L'objectif de la séance « aller » est d'arrêter avec les étudiants les objectifs d'apprentissage pour l'analyse de chaque situation et de déterminer un cadre et une méthode de travailler pour y arriver. Les séances collectives (Aller/Experts/Retour) visent à préparer le travail d'apprentissage autonome qui suit. Idéalement, il faut inviter plusieurs experts de formation-métiers différents (éducateur, travailleur social, juriste, économiste, philosophe, psychologue, etc.) et qui maîtrisent la problématique. Si vous avez des difficultés à trouver des experts, n'hésitez pas à nous contacter. S'ils ne sont pas disponibles pour le jour de la rencontre, essayez de les voir avant cette date pour alimenter le débat avec les autres experts. Chaque étudiant devra obligatoirement réalisé un entretien individuel avec un usager ou gestionnaire du dispositif. Pour rappel, la présence de l'ensemble des étudiants aux séances aller/expert/retour est obligatoire! Indépendamment des objectifs que vous vous êtes fixés pour l'analyse de votre situation-problème, continuez à vous poser les questions ci-dessous: - Est-il pertinent de parler de politique d'activation dans le cadre de votre situation-problème? Si oui, en quoi, s'agit-il d'une politique d'activation ou d’un processus d’activation ? - Identifiez les bases légales et administratives de cette politique d'activation! - Quels sont les principales forces, faiblesses, risques et opportunités de cette politique? - Quelles sont les spécificités organisationnelles au niveau de la mise en œuvre de la politique d'activation? - Comment les différents acteurs (usagers, travailleurs sociaux, chef de services, décideurs politiques, associations, etc.) impliqués dans la situation vivent la situation? Essayez de comprendre leurs logiques d'action. - En quoi la politique d'activation change le travail social ? - Adoptez un regard interdisciplinaire (juridique, sociologique, économique, philosophique,...)! - D'un point de vue éthique et philosophique, posez-vous personnellement la question des apports et limites des politiques d'activation. A la fin du processus chaque groupe présentera d'une façon synthétique les principaux résultats de son APP (en 20 minutes et en deux pages).

Travail écrit et sa défense orale

Bachelier

Acquérir et/ou mobiliser des connaissances :

• pour mener une recherche de A à Z;
• pour mettre en évidence les qualités et les défauts d'une recherche scientifique;
• pour articulier la recherche avec l'action sociale.

L'articulation entre la recherche et l'action sociale

Les étapes de la recherche en travail social

La question de départ

L'exploration

L'élaboration de la problématique

L'élaboration des hypothèses

Le recueil et l'analyse des informations - L'enquête quantitative

Le recueil et l'analyse des informations - L'enquête qualitative

La rédaction du rapport de recherche

ALBARELLO L., Devenir praticien-chercheur. Comment réconcilier la recherche et la pratique sociale, Bruxelles, De Boeck, 2004.  

LIEVRE P., Manuel d'initiation à la recherche en travail social. Construire un mémoire professionnel, Rennes, Editions de l'Ecole Nationale de Santé Publique, 2006.

QUIVY R. et VAN CAMPENHOUDT L., Manuel de recherche en sciences sociales, Paris, Dunod, 2006.

• Situer les notions essentielles qui sous-tendent la réalité politique (politique, pouvoir, Etat, Nation, régimes politiques, démocratie) et identifier les acteurs de la vie politique (dirigeants politiques, partis politiques, groupes d'intérêt, citoyens).
• Comprendre le fonctionnement démocratique et réfléchir à l'exercice de la citoyenneté.

• Pouvoir, Etat, Nation
• Régimes politiques, démocratie
• Les citoyens et les partis politiques
• Limites du pouvoir politique et crise de la représentation
• Les nouvelles formes de participation politique

BAUDOUIN, J., Introduction à la science politique, 8e édition, Paris : Dalloz, 2007.

GAUDIN, J.-P., La démocratie représentative, Paris : Armand Colin, 2007.

ROSANVALLON, P., La contre-démocratie , La politique à l'âge de la défiance, Paris : Seuil, 2006.

Bachelier

Acquérir et/ou mobiliser des connaissances pour mieux comprendre le fonctionnement des organisations.

Analyser quelques Ecoles classiques de la théorie des organisations.

Analyser l'influence de la culture sur le fonctionnement des organisations.

Analyser les jeux stratégiques présents dans les organisations.

Analyser la structure des organisations via les configurations organisationnelles.

Acquérir des outils mobilisables pour la gestion d'une équipe de travail.

L'organisation selon quelques Ecoles classiques

L'organisation sous influence culturelle

L'organisation comme lieu de stratégies

Les configurations organisationnelles

AMBLARD H. et al., Les nouvelles approches sociologiques des organisations, Paris, Seuil, 2007.

BAGLA L., Sociologie des organisations, Paris, La Découverte, 2003.

BERNOUX P., La sociologie des organisations, Paris, Seuil, 1993.

CROZIER M. et FRIEDBERG E., L'acteur et le système, Paris, Seuil, 1977.

MORIN P. et DELAVALLEE E., Le manager à l'écoute du sociologue, Paris, Editions d'Organisation, 2000.

NIZET J. et PICHAULT F., Introduction à la théorie des configurations, Bruxelles, De Boeck et Larcier, 2007.

Bachelier

Maîtrise d'un métier du social

Démystifier le principe de l’application de procédures d’évaluation dans le non-marchand et le marchand à finalité sociale

Initier la constitution d’une boite à outils d’évaluation personnelle 

Initier la constitution d’une boite à outils d’évaluation personnelle

Textes et articles relatifs à l’évaluation dans les secteurs non-marchand ou marchand à finalité sociale

Apport critique des étudiants et du professeur

Publications diverses des secteurs marchand et non-marchand ayant trait à l’évaluation

Un recueil des articles est disponible

Expériences professionnelles, stages, etc...

• Réinterroger sa pratique pour améliorer son bien-être personnel ainsi que la qualité de son travail
• Définir la psychologie du travail et ses différents aspects – pouvoir les cerner dans son quotidien professionnel.
• Définir les différents types d’organisations existants et pouvoir les détecter : structure, type de management humain, communication, formation, autonomie, etc…
• Aborder les situations de changement de manière efficace et définir le rôle des acteurs ainsi que la place des RH.
• 1^er volet des activités de base de la GRH en organisation :

1. Descriptions de fonction
2. Référentiel des compétences : Organiser et constituer une analyse des compétences par métier
3. Définir des rôles clairs et adaptés aux compétences pour les individus
4. Organiser un recrutement & intégrer un nouveau collaborateur

• Définir le bien-être au travail – Etablir ses différentes facettes et aborder les outils et moyens existants pour préserver au mieux ce bien-être dans une organisation.

Module 0: Introduction – Méthodologie – Objectifs du cours

• Méthodologie
• Objectifs du cours
• Plan du cours
• Filmographie et travail individuel
• Système de cotations

 Module 1: Introduction au cours psychologie du travail

1. Introduction
2. Définitions
   1. Psychologie du travail
   2. Valorisation des ressources humaines
   3. Ressources humaines
   4. Ergonomie
3. Environnement professionnel en évolution permanente
4. Les organisations en pleine mutation
5. Les différentes formes d’organisations et les pratiques de GRH
6. Les nouveaux enjeux pour la GRH

Module 2: Quelques Outils et pratiques à la gestion des ressources humaines

1. Identification et mesure des effectifs
2. Mesure et gestion des compétences – définition des rôles/des fonctions
3. Recrutement et Sélection

Module 3: Psychologie du travail et bien-être au travail

1. Introduction et définitions du bien-être au travail
2. Organisation du bien-être au travail
3. La sécurité au travail
4. Charge psychosociale

n4.1.     Stress

n4.2.     Violence

n4.3.     Harcèlement moral

n4.4.     Harcèlement sexuel

• MONDOLFO Ph. « Travail social et développement » Dunod, Paris, 2001 p4.
• “Organisation et management” Tome 3 – Guider le développement de l’entreprise. Probst, Bruggimann, Mercier
• Tome 8 - Méthodes d’intervention. Développement organisationnel - Roger Tessier,  Yvan Tellier
• Psychologie du travail et des organisations - Philippe Sarnin – parution septembre 2007 – collection:Ouvertures psychologiques

• La formation combine les apports théoriques et la mise en pratique d’outils concrets permettant aux professionnels que vous êtes de répondre rapidement aux contraintes et problèmes que vous présente votre environnement professionnel.
• La formation se base également sur les attentes et apports des participants dans le cadre de séquences d’échanges et de discussions.
• Des dossiers de lectures vous seront remis
• Une filmographie spécifique à la matière vue au cours sera utilisée lors du cours.
• Le cours se présente sous forme de « slides (powerpoint) » et un syllabus est mis à la disposition des étudiants

1^ière session:

10 % sur votre présence au cours durant l’année et participation aux travaux pratiques

20 % sur travail individuel et de recherche

70 % sur examen écrit

2^ième session:

100% sur examen écrit

Non

Comprendre et analyser les processus de la communication sociale.

Comprendre et maîtriser les enjeux de la communication interne et externe.

Développer des compétences en matière  de conception et de transmission de messages institutionnels visant les travailleurs de l'organisation, les partenaires professionnels et le grand public par l'intermédiaire des médias.

Introduction aux théories de la communication (du modèle du "télégraphe" à celui de "l'orchestre").

La communication de l'organisation (communication sociale, communication externe, communication interne, communication de crise).

BERNOUX,P., la sociologie des organisations, Seuil, 1985.

COLLET, H., Communiquer Pourquoi, comment ?, CRIDEC,2004.

DUTERME, C. La communication interne en entreprise, De Boeck, 2002.

MEUNIER, J.P., Introduction aux théories de la communication, De Boeck, 1996.

MUCCHIELLI, A., Théorie des processus de la communication, Armand Colin, 1998.

WATZLAWICK, P., Une logique de la communication, Seuil, 1972. 

Connaissances "anglais général" de niveau B1

(tel que défini par le cadre européen commun de référence)

Optimalisation des compétences de compréhension par le biais d’activités de lecture basées sur une sélection diversifiée de documents traitant de problématiques sociales. Acquisition de la terminologie spécifique à l’anglais des sciences sociales. Amélioration de l’aptitude à synthétiser et à traduire efficacement des informations et des données extraites des documents précités.

Sélection de documents originaux variés couvrant divers sujets à orientation sociale. Les sujets seront abordés en deux étapes :

1. Introduction générale : p.ex. peer group pressure
2. Etude d’un cas pratique : p.ex. binge drinking

Les sujets et problématiques ci-après seront, entre autres, abordés : l’individu et le groupe (de la cellule familiale à la foule), questions d’identité au Royaume Uni, délinquance et criminalité, questions relatives à la sécurité sociale au Royaume Uni, etc.

1. Dossier de lecture avec la sélection des documents originaux.
2. Fascicule : exercices complémentaires (compréhension à la lecture, vocabulaire, traduction)
3. Dossier de lecture « mode auto-apprentissage » (sélection de document à préparer pour l’examen écrit)

L’apprentissage d’une langue étrangère étant un processus actif, nous insistons plus particulièrement sur :

-          présence régulière aux cours

-          participation active

-          réalisation des travaux et préparations

Non

Comprendre et analyser les processus de communication et leurs composantes.

- Comprendre et maîtriser les enjeux de la communication sociale dans l'acception proposée par H.Collet : "un système de pensée et d'action qui cherche à promouvoir la personne humaine(...)en tant que sujet, autant qu'objet, de communication".

- Etre capable d'élaborer une communication institutionnelle en relation avec les enjeux visés ci-dessus.

 approche générale de la communication, la communication sociale (définition, objectifs, destinataires, charte éthique), grille d'élaboration d'un projet de communication.

COLLET, H., Communiquer, pourquoi, comment ?, CRIDEC, 2004.

MEUNIER, J.P., PERAYA, D., Introduction aux théories de la communication, De Boeck, 1996.

WESTPHALEN, M.H., LIBAERT, T., Communicator, Dunod, 2009.

WATZLAWICK, P. et al, Une logique de la communication, Seuil, 1972.

Aucun pré-requis particulier

travaux pratiques "identité professionnelle" : initier auprès des étudiants entamant le master une réflexion sur leur engagement dans cette formation.  Secondement, permettre aux étudiants de trouver des éléments pour construire leur identité professionnelle et définir leur positionnement.

Travaux pratiques " travail d'expertise danss le domaine de la recherche sociale" : appliquer les connaissances théoriques acquises en matière de recherche sociale.  Deuxièmement mener une enquête quantitative de A à Z; c'est-à-dire construire une question de départ, assurer des lectures et des entretiens exploratoires, élaborer une problématique, construire des hypothèses et des indicateurs, rédiger un questionnaire, pré-test, passation du questionnaire sur le terrain, encodage des résultats, analyse statistique des résultats, et rédaction du rapport de recherche.

Travaux pratiques "gestion de projets". Ces travaux pratiques visent à mettre l'étudiant en situation de gérer concrètement un ou des projets avec un degré de finition correspondant à ce qui pourrait être attentu de lui une fois diplômé

Alternance de séances théoriques et d'exercices.  Les étudiants sont amenés à intégrér leurs connaissances dans des  travaux de laboratoires et de recherches sur le terrain.

De façon générale, les étudiants sont amenés à répondre à une ou plusieurs commandes professionnelles. Ces commandes sont découpées en tâches et objectifs intermédiaires qui sont travaillées en séminaire.

Bachelier

Mener une analyse institutionnelle approfondie.

Développer un projet d'action sociale innovant, ce projet devant être le résultat concret de l'analyse critique d'une politique sociale (1ère étape).

ET/OU Mener une recherche comme point d'appui à des projets d'innovation ou d'adaptation sociale (1ère étape).

ET/OU Analyser, concevoir et développer des outils pour une gestion plus optimale des ressources humaines (1ère étape).

ET/OU Mener une approche réflexive visant à évaluer des programmes d'action sociale et/ou des pratiques d'intervention sociale (1ère étape).

Participation aux activités d'une institution du secteur non marchand

Bachelier

Ce séminaire vise à montrer en quoi la définition et la manière d'appréhender les problèmes sociaux dépendent du contexte socio-économique ou du prisme idéologique à partir duquel on les considère. Ce séminaire s'alimente d'une réflexion théorique interdiciplinaire grâce aux apports des deux professeurs titulaires (sociologue et philosophe)mais également par la mobilisation par les étudiants des notions et situations analysées dans le cadre d'autres cours.

1. Du social au politique, quelle articulation (E. TASSIN, Un monde commun. Pour une cosmopolitique des conflits)?

2. De la participation à la reconnaissance (A. HONNETH)

3. De l'état providence à l'Etat social actif

4. L'allocation universelle, une alternative?

5. Séminaire d'intégration par les étudiants : travail d'enquête qualitative.

Pas d'ouvrage de référence principal; nombreux extraits de livres, articles, dossiers, ...

Bachelier

Ce séminaire vise à appréhender les différents aspects de la gestion des ressources humaines (relationnels, juridiques, communicationnels, etc.) et à les mettre en perspective au sein du contexte culturel de l'organisation. 

- Eléments constitutifs de la culture et de l'identité des organisations à caractère social.

- Intégration du modèle culturel de l'organisation dans la gestion des ressources humaines (enjeux, valeurs, normes, relation à l'espace public).

- Fonction réelle et symbolique du "manager" dans le champ du non-marchand et de l'action sociale.

ALLEGRE, C., Gestion des ressources humaines (valeur de l'immatériel), De Boeck, 2008.

De BORCHGRAVE, R., Le philosophe et le manager, De Boeck, 2006.

DUTERME, C., La communication interne en entreprise (l'approche de Palo Alto et l'analyse des organisations); De Boeck, 2002.

PICHAULT, F. et NIZET, J., Les pratiques de gestion des ressources humaines, Seuil, 2000.